S’engager pour les espèces menacées
Découvrez notre engagement et notre rôle dans la protection des espèces menacées.
Promis, vous ne ferez pas que le café et les photocopies !

Un peu d'histoire sur le Parc Animalier d'Auvergne
Repris en 2012
Aujourd'hui, 350 animaux de 70 espèces différentes dont 46 font partie de programme de reproduction
2013 : création de la Passerelle Conservation
2021: objectif 105 000 € pour les espèces menacées

Le Parc a été créé en 1984 et repris par Rémy Gaillot et Pascal Damois, en 2012. Depuis, ils ont eu à cœur de s’investir dans la protection des espèces menacées, d’améliorer le bien-être des animaux qu’ils hébergent et d’éduquer les visiteurs à la protection de l’environnement et de la biodiversité.
C’est véritablement les rôles que doivent assurer les zoos. Si avant, il ne s’agissait que de présenter des espèces exotiques, aujourd’hui les zoos se doivent d’être impliqués dans la conservation et dans l’éducation, c’est même inscrit dans la loi.
Découvrez les engagements du Parc, qui souhaite aller encore plus loin que ce que la loi demande.
Le rôle des parcs animaliers au 21ème siècle
Conformément à la réglementation, le Parc Animalier d’Auvergne ne prélève aucun animal sauvage dans la nature. L’arrivée de nouveaux pensionnaires résulte uniquement d’échanges avec d’autres parcs zoologiques sans aucune contrepartie financière.
Lorsque les espèces concernées sont menacées d’extinction, elles font alors partie d’un programme européen d’élevage (EEP). Résolument tourné vers la conservation d’espèces menacées ou en voie de disparition, nous présentons 46 espèces faisant l’objet de tels programmes.
C’est notre mission de conservation Ex Situ, c’est à dire la sauvegarde d’espèces menacées en dehors de leur milieu naturel.
Ces programmes sont gérés par l’EAZA (la prestigieuse Association Européenne des Zoos et Aquariums qui regroupe uniquement les meilleurs zoos européens) par le biais d’un coordinateur unique pour chaque espèce.
Le coordinateur supervise les transferts afin d’accroître la diversité génétique de l’espèce. Grâce à ses connaissances, il mène des études et des analyses génétiques et démographiques afin de transmettre ses recommandations aux différents parcs et zoos.
Par exemple, Ibet et Mushu, les pandas roux, font partie d’un programme de reproduction européen.
Le Parc a pour objectif avec la Passerelle Conservation, de reverser cette année 105 000 euros à 18 associations de protection des animaux dans la nature. C’est ce qu’on appelle la conservation In Situ, protéger les animaux dans leur milieu naturel.
Les organismes mènent des actions ciblées et précises sur le terrain, répondant à leur volonté de protéger l’habitat des espèces menacées en impliquant les communautés locales : l’éducation est à la base de la conservation.
Découvrez toutes les associations que nous soutenons sur la carte de la conservation !
Au Parc, nous avons un service pédagogique qui au travers des animations, des expériences exceptionnelles, sensibilise un grand nombre d’enfants et de visiteurs à la protection de l’environnement et montre qu’il est facile d’agir à son échelle.
Éteindre la lumière lorsque l’on quitte une pièce, trier ses déchets, manger local, des petits gestes qui peuvent changer beaucoup si nous sommes des millions à le faire.
Nous avons fait le choix de favoriser les produits locaux et de saison pour notre restauration. Parce que c’est mieux pour l’environnement, et c’est aussi bien meilleur dans l’assiette !
Nous évitons au maximum les produits à base d’huile de palme. Lorsque ce n’est pas possible, nous prenons exclusivement des produits avec de l’huile de palme durable, certifiée RSPO.
Découvrez tous nos produits sur notre page restauration.